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Notes
Sylvain AUROUX, La raison, le langage et les normes, Paris, Puf, 1998, p. 21.
Sylvain AUROUX, op. cit., p. 31 ; Jean DUBOIS et alii, Dictionnaire de linguistique, Paris, Larousse, 1989, p. 280.
Jean DUBOIS et alii, Dictionnaire de linguistique, Paris, Larousse, 1989, p. 280.
GRÉVISSE, D’après Robert DE FLERS, « La langue française » in La force de l’orthographe, Bruxelles, De Boeck Duculot, 3ème éd. revue par André Goosse, 1996, p. 140.
N. BEAUZÉE et J. F. MARMONTEL (dir.), Encyclopédie méthodique, grammaire et belles lettres, 1786, t. 3, p. 623.
Sylvain AUROUX, op. cit., pp. 31-32.
Encyclopedia Universalis.
Sylvain AUROUX, op. cit., p. 39.
Roman JAKOBSON, Essais de linguistique générale, Paris, Editions de Minuit, 1963, p. 84.
Ibidem.
Sylvain AUROUX, op. cit., p. 87.
Dans les langues isolantes d’Extrême-Orient, la distinction verbe/nom ne se réalise pas morphologiquement, mais elle existe dans le système de ces langues : elle est tributaire du sens, elle n’est pas morphologique ou syntaxique mais sémantique.
Jean DUBOIS et alii, op. cit., p. 280.
Ibidem, p. 504.
Claude HAGÈGE, La structure des langues, Paris, PUF, « Que sais-je ? » n° 2006, 2ème édition corrigée, 1986, pp. 9-10.
Jean DUBOIS et alii, op. cit. Voir aussi sur la même question : Sophie DUBAIL-SAFFI, « Un autre regard sur les travaux de Roman Jakobson », in La place et la fonction de l’accent en italien, thèse de Doctorat, Université de la Sorbonne Nouvelle – Paris 3, 1991, pp. 407-425.
Catherine KERBRAT-ORECCHIONI, Les interactions verbales, Paris, Armand Colin, 1994, tome 3, pp. 127-128.
Sophie SAFFI, « Le féminin, un accord décalé », in Italies, Revue d’études italiennes, Université de Provence, Aix-en-Provence, n°3, Femmes italiennes, Hommage à Marie-Anne RUBAT DU MÉRAC, juin 1999, pp. 351-366.
Joseph H. GREENBERG et alii, Universals of Language, Cambridge Massachusetts/London England, The M.I.T. Press, 1963 (« Memorandum concerning language universals »: pp. XV-XXVii).
Joseph H. GREENBERG, « Some universals of grammar with particular reference to the order of meaningful elements », in Universals of Language, pp. 73-113.
Roman JAKOBSON, « Implications of language universals for linguistics », in Universals of Language, pp. 263-278.
Joseph H. GREENBERG, Les langues indoeuropéennes et la famille eurasiatique, Paris, Belin, 2003 pour la traduction française, l’original a été publié en 2000.
« Greenberg’s paper treats the universals of grammar “with particular reference to the order of meaningful elements” (syntactic or morphological constituents) » (Roman JAKOBSON, Universals of Language, cit., p. 270)
« Greenberg’s statements on universals in the “order of meaningful elements” rightly put forward the notion of a “dominant” order. We are reminded that the idea of dominance is not based on the more frequent occurrence of a given order: actually what is here introduced into the “order typology” by the notion of dominance is a stylistic criterion. » (Ibidem, p. 268.)
Ibidem, pp. 268-269.
Ibidem, p. 265 et p. 270.
Roman JAKOBSON, Langage enfantin et aphasie, Paris, Les éditions de Minuit, 1969.
Ibidem, pp. 55 et svtes.
Ibidem, p. 51.
Ibidem, p. 57.
Sophie SAFFI, « La faute de conjugaison, une conséquence de l’exercice de traduction ou le reflet de l’évolution du système verbal ? » in Cahiers d’études romanes, Université de Provence, n° 7/1, pp. 125-166 (L’apprentissage des écarts : pp. 148-152).
Roman JAKOBSON, Langage enfantin et aphasie, cit., p. 60.
Ibidem, p. 62.
Ibidem, p. 53.
Ibidem, p. 54.
Ibidem, p. 60.
Ibidem, p. 61.
Marcel LOCQUIN, Quelle langue parlaient les ancêtres préhistoriques ?, Paris, Albin Michel, 2002, pp. 25-37 et aussi pp. 77-104.
« “L’ontogenèse récapitule la phylogenèse”, disent les biologistes depuis Haeckel. L’ontogenèse, c’est tout le processus de développement d’un individu à partir d’un œuf fécondé ; la phylogenèse, c’est le développement évolutif d’une lignée. Dire que ”l’ontogenèse récapitule la phylogenèse” signifie que tout être vivant, dans les premiers stades de son développement, repasse par les principales premières étapes de la vie dans sa lignée. » (Marcel LOCQUIN, op. cit., p. 25).
Ibidem, pp. 28-30.
Ainsi, du latin aux langues romanes, on observe un mouvement évolutif d’antéposition dans les prépositions et les déterminants, de l’information morphologique auparavant portée par les désinences casuelles. Et encore, de l’indo-européen de type agglutinant aux langues romanes, on constate des mouvements dans l’ordonnance syntaxique comme le souligne Alvaro Rocchetti à l’occasion d’une comparaison des syntaxes de phrases turque et française : “[…] la structure syntaxique en miroir entre les deux langues est due au fait que chacune d’entre elles représente, dans sa propre famille, la langue la plus proche du modèle idéal : celle du type agglutinant pour le turc, celle du type à formes antéposées pour le français. L’obligation, en français, à la différence des autres langues romanes, d’antéposer les pronoms sujets, les articles, le partitif, etc. et, à l’inverse, la démarche tendant à postposer ce qui était antéposé (ex. : la négation latine « non », antéposée, devenant la négation du français parlé « pas », postposée) montre que la restructuration syntaxique, commencée lors du passage de l’indo-européen au latin, se continue encore sous nos yeux. Le renoncement à l’ordre syntaxique strict de l’indo-européen a conduit à la grande liberté syntaxique du latin, puis, les langues romanes ont retrouvé – plus exactement ‘reconstruit’ – une syntaxe de plus en plus contraignante.” (Alvaro Rocchetti, « De l’indo-européen aux langues romanes : apparition, évolution et conséquences de la subordination verbale » dans un recueil en l’honneur des 80 ans de Bernard Pottier, à paraître.
Marcel LOCQUIN, op. cit., pp. 34-35.
Aaron DOLGOPOLSKI, « The Indo-European Homeland and Lexical Contacts of Proto-Indo-European with Other Languages », in Mediterranean Language Review, n° 3, 1988, pp. 7-31.
Vladislav ILLYCH-SVITCH, « Materialy k sravnitelnomou slovariou nostratitcheskix iazykov », in Etymologuia, Moscou, 1965, pp. 321-396, traduction anglaise dans V. CHEVOROCHKINE, (éd.), Reconstructing Languages and Cultures, Bochum, Brockmeyer, 1989. Pour connaître l’historique de ces travaux lire : Merritt RUHLEN, L’origine des langues. Sur les traces de la langue mère, Paris, Belin, 1997 pour la traduction française, original publié en 1994, pp. 84-85.
Les langues indoeuropéennes et la famille eurasiatique, Paris, Belin, 2003, p. 10.
Merritt RUHLEN, op. cit., pp. 233-271.
Pour une information plus complète sur l’histoire des langues, consulter les articles de Gwen-Haël DENIGOT, « L’origine des langues », p. 122-135, « Enquête sur le lointain passé des langues d’Europe », pp. 136-145, et de François Lassagne « Les langues au régime des gènes », pp. 146-153, in Science&Vie, n° 227 hors-série « Découvertes : du langage aux langues », Juin 2004.
Merritt RUHLEN, op. cit., p. 234.
Gustave GUILLAUME, Principes de linguistique théorique, Paris, Klincsieck, 1973, pp. 121-122.
« L’évolution suivie par l’homme au cours des 200 000 dernières années ne semble pas cadrer avec le concept darwinien de mutation lente et progressive. Pourtant, point n’est besoin de faire intervenir des forces surnaturelles pour expliquer l’évolutionnisme de l’homme. Il est vraisemblable que l’homme a développé une capacité d’adaptation qui lui a permis de substituer une évolution culturelle accélérée à des mutations biologiques lentes : l’aptitude à se mettre à la place d’autres individus – le rendant ainsi capable d’apprentissage social et, du même coup, de développer progressivement des traditions culturelles complexes. Les singes anthropoïdes peuvent faire preuve d’inventivité. Mais à l’évidence, ces espèces ne sont pas en mesure de prêter à d’autres individus des intentions, des objectifs et des motivations, ni de reconnaître ces aptitudes mentales à travers les outils et les symboles. » (Thomas Weber de l’Institut d’écologie animale de l’Université de Lund, Les différentes facettes de l’évolution, http://www.arte-tv.com/fr/connaissance-decouverte/aventure-humaine/).
Aurélien SAUVAGEOT, La structure du langage, Publications de l’Université de Provence, « Langues et Langage », collection du Cercle Linguistique d’Aix-en-Provence, n° 2, 1992, p. 34.
Ibidem, p. 38.
Ibidem, p. 37.
Ibidem.
Ibidem, p. 31.
Ibidem, p. 33.
Ibidem, p. 34.
Claude HAGÈGE, La structure des langues, Paris, PUF, 2ème éd. 1982, pp. 4-9.
Ibidem, p. 3.
Annie BOONE et André JOLY, Dictionnaire terminologique de la systématique du langage, Paris, L’Harmattan, 1996, p. 430.
Gustave GUILLAUME, Leçon inédite O6/11/41, in Ibidem, p. 432.
Gustave GUILLAUME, Leçon inédite 19/03/42, in Ibidem., p. 110.
Gustave GUILLAUME, L’architectonique du temps dans les langues classiques, Paris, Champion, 1945, p. 31.
Annie BOONE et André JOLY, op. cit., pp. 431-432.
Ibidem.
Gustave GUILLAUME, Temps et verbe, Paris, Champion, 1945, pp. 132-133.
Annie BOONE et André JOLY, op. cit., p. 433.
Gustave GUILLAUME, Principe de linguistique théorique, Paris, Klincksieck, 1973, p. 200.
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Annie BOONE et André JOLY, op. cit., pp. 422-423.
Gustave GUILLAUME, Langage et science du langage, Paris, Nizet, 1964, p. 99.
Gustave GUILLAUME, Leçon inédite 16/12/43, in Annie Boone et André Joly, op. cit., p. 434.
Arturo MARTONE, professeur du département de philosophie et de politique de l’Institut universitaire oriental de Naples, a rédigé une présentation à la publication italienne des Principes de linguistique théorique de Gustave Guillaume (Gustave GUILLAUME, Principi di linguistica teorica, Naples, Liguori editore, 2000, pp. XI-XX), dont il a supervisé la traduction réalisée par Roberto SILVI.
Temps et verbe, cit., pp. 133-134.
Noam CHOMSKY, La linguistique cartésienne suivi de La nature formelle du langage, Paris, Éditions du Seuil, 1969 (pour la traduction française, original paru en 1966), 183 p.
Jean-Philippe BRICKA, « Une grammaire innée ? », in Science&Vie, n° 227 hors-série « Découvertes : du langage aux langues », Juin 2004, p. 27.
Ibidem.
Bruce Bradley’s Archaeology Page (http://www.primtech.net/).
Jean-Philippe BRICKA, op. cit.
Ibidem, p. 24.
Roman JAKOBSON, Essais de linguistique générale, Paris, Les éditions de Minuit, 1973, p. 49.
Reportage de Jean-Pierre ROGEL et Pascal GÉLINAS, Radio Canada, mai 2005.
Sylvain AUROUX, op. cit., p. 86.
Jean-Pierre ROGEL et Pascal GÉLINAS, op. cit.
Marcel LOCQUIN, op. cit., p. 94.
Yves COPPENS, « Préhistoire du langage », in Le singe, l’Afrique et l’homme, Paris, Fayard, 1983.
Marcel LOCQUIN, op. cit., p. 86.
Présentation d’une série de conférences Les origines du langage et la construction du sens, Cité des Sciences, Paris, les 9, 16 et 30 novembre 2002 et 8 février 2003. On peut écouter les cours sur le site suivant : http://www.cite-sciences.fr/français/ala_cite/college/02-03/cours/09-02-cerveau/11-steels/accueil.htm
Frédéric KAPLAN, L’hypothèse du langage égoiste, cours du 9 novembre 2002, même site. A propos de l’évolution culturelle, la mémétique de Susan Blackmore semble une voie intéressante à explorer (http://www.admiroutes.asso.fr/larevue/2003/48/blackmore.htm).
Frédéric KAPLAN, L’anatomie du langage, cours du 16 novembre 2002, même site.
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« Le point sur la prise de décision », in Science&vie, n° 1036, p. 98.
Sophie SAFFI, « Discussion de l’arbitraire du signe », in Italies, n°9, Figures et jeux du hasard, 2005, pp. 345-394.
Frédéric KAPLAN, La construction collective du sens : expériences robotiques, cours du 30 novembre2002, même site.
Ibidem. Lire aussi : Jean-Paul Baquiast et Cristophe Jacquemin, Des bactéries aux robots. De la coopération au langage, 12/12/2004, à l’adresse suivante : http://www.admiroutes.asso.fr/larevue/2004/60/ecagents.htm
René CARRÉ et alii, Langage humain et machine, Paris, Presses du CNRS, 1991, p. 276.
Ibidem, p. 280.
Jean CAELEN, « À l’écoute de la parole humaine », in La Recherche, n° 285 mars 1996, cité par Ranka BIJELJAC et Roland BRETON, Du langage aux langues, Paris, 1997, pp. 116-117.
René CARRÉ et alii, op. cit., p. 274.
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